Les amours douces-amères de Daniel Darc

Le cinquième album solo de Daniel Darc, très attendu par les nombreux admirateurs du superbe Crève-coeur , sortira le 14 janvier prochain.

Et à en croire le court extrait, en écoute sur myspace, du premier single J’irai au Paradis (lequel sortira le 10 décembre prochain, mais uniquement en 45 tours et en édition limitée), le songwriter français, que l’on disait apaisé et heureux en amour depuis cette petite merveille de romantisme désespéré, semble s’être orienté vers des mélodies plus joyeuses mais continue néanmoins de conjuguer pop et textes hantés par le regret et la tragédie d’un amour perdu.

Ce nouvel opus s’intitulera Amours suprêmes, en hommage au chef-d’oeuvre de John Coltrane, A Love Supreme, incarnation musicale de l’éveil spirituel du célèbre saxophoniste et de sa rédemption qui doit certainement toucher de près l’ex-leader écorché vif de Taxi Girl. L’album a été une nouvelle fois composé, arrangé et produit par le grand Frédéric Lo, déjà architecte de Crève-coeur, et comptera entre autres les participations de Robert Wyatt (qui vient tout juste de sortir son nouvel album Comicopera , Alain Bashung (qui devrait sortir le sien l’an prochain) et Morgane Imbeau de Cocoon.

News - 09.11.2007 par RabbitInYourHeadlights
 


News // 1er septembre 2009
Le Jazz explose à la Villette

C’est ce soir que débutait sous le signe de l’Afrique la nouvelle édition du festival Jazz à la Villette qui se poursuivra jusqu’au 13 septembre avec son lot coutumier d’expériences transversales. Après cette première soirée qui aura vu se côtoyer l’afrobeat de Seun Kuti & Fela’s Egypt 80 et l’improbable expérience d’Amadou & Mariam accompagnés (...)



Chroniques // 26 janvier 2008
Daniel Darc

Impossible d’avoir une opinion tranchée sur Amours suprêmes , le nouvel album de Daniel Darc, quand on a écouté pendant plus de trois ans le précédent Crève-coeur avec toujours la même boule dans la gorge et les même frissons le long de l’échine, comme on regarderait un miroir tendu aux souvenirs de ses propres peines (...)