Deerhoof s’offre en live

A quelques jours du coup d’envoi de leur tournée américaine, les californiens de Deerhoof nous sortent en libre téléchargement un petit album live de derrière les fagots.

Disponible depuis vendredi sur le site officiel du groupe, 99% Upset Feeling fait la part belle comme son titre l’indique à la veine électrique des auteurs de Friend Opportunity et pioche un peu partout dans leur discographie depuis Apple O’ (2003), avec une prédilection logique pour le récent Offend Maggie efficacement taillé pour la scène et tout de même un oublié de poids, l’excellent The Runners Four.

Au rayon des reprises, on a droit à Pinhead, relecture survoltée des Ramones que Satomi Matsuzaki et sa bande offrent régulièrement en concert, au bien connu Goin’ Up The Country de Canned Heat déjà présent en version studio sur leur EP de 2006 ou encore à une version instrumentale du petit hit rock’n’roll des Dovells, You Can Sit Down, déjà interprétée en live sur l’édition limitée de leur petit dernier Deerhoof vs. Evil.

News - 11.09.2011 par RabbitInYourHeadlights
 


Deerhoof : retour sur (plus de) 20 ans de carrière

C’est lors de leur venue à la dernière session hiver de La Route du Rock (dont nous avait parlé ici Elnorton) que nous avons pu rencontrer Greg Saunier, batteur et fondateur du duo Deerhoof, devenu ensuite trio puis quatuor au hasard des fluctuations de la formation au cours de ses 20 ans de carrière. Le garçon, jovial, disponible et excessivement (...)



Le streaming du jour #1208 : Deerhoof - 'La Isla Bonita'

Comme l’égérie des années 80 dont un single partage son nom avec ce douzième long format en 20 ans d’existence, Deerhoof libère les mœurs - aussi bien les leurs que les nôtres d’ailleurs - avec La Isla Bonita mais heureusement pour nos oreilles toujours en quête de télescopages noise-pop acidulés quand on en vient au quatuor de San Francisco, la (...)



Chroniques // 30 janvier 2011
Deerhoof

Je ne sais pas pour vous, mais moi la première fois que j’ai vu la pochette du nouvel album de Deerhoof, j’étais, comment dire... enfin, surpris devant ce qui me paraissait être une telle faute de goût, comme si d’un seul coup à force de trop jouer avec le décalage de son univers le groupe finissait par sombrer sans s’en rendre compte dans le ridicule (...)