IRM presents - IRMxTP Part XIV - Red Room (The Evil in These Woods)

1. 2kilos &More - TP-da-lp-fg-in-tb-l1 Voir la vidéo Nicotine, 2kilos &More & IRM - Back to Twin Peaks : Is it future ? Or... Is it past ? (TP.da-lp-fg-in-tb-l1)
2. Sturqen - Cristal
3. Caulbearer - Sometimes My Arms Bend Back
4. The Chevrons - Dance Of The Dream Man (Audrey’s Dance Variations)
5. Gimu - The Vertical Plane
6. Terminal 11 feat. Lana Del Rabies - Black Lodge Waltz
7. LeVant - My Dwarf Stole Your Silence
8. Chris Weeks - The Man From Another Place
9. Peter Because - Twin Peaks Black Lodge Cabaret
10. Richard Kapp - A Damn Fine Cup of Coffee Voir la vidéo Richard Kapp - A Damn Fine Cup of Coffee (compilation #IRMxTP)
11. Grosso Gadgetto - Meanwhile
12. Cezary Gapik - #0490 (Deceptive Promptings)
13. Mars In Hell - The Pink Room 10:52

2018 - Autoproduction

Sortie le : 30 mai 2018

A télécharger librement sur notre page Bandcamp.


Disques - 30.05.2018 par RabbitInYourHeadlights
 


Interviews // 16 février 2017
Entretiens à Twin Peaks : #34 - Richard Kapp

Retrouvez chaque semaine dans nos pages les interviews de quelques-uns des contributeurs à la future compil’ Twin Peaks d’IRM. Sur un nuage il y a quatre ans avec le superbe I See Myself in the Water offert à notre précédente compilation avant de reparaître en version orchestrée sur l’excellent Fake ! en 2015, dernier album en date avec sa troupe (...)



Le streaming du jour #1915 : IRM presents - 'IRMxTP Part XIV - Red Room (The Evil in These Woods)'

Radiations ténébreuses et digressions surréalistes émaillent ce 14e volet - l’avant-dernier à voir le jour - de notre hommage lynchien. Et pour cause, après en avoir chassé l’entrée au gré d’une échappée nocturne dans les méandres inquiétants de la forêt de Ghostwood (sur le volume 13, à télécharger là), c’est dans la fameuse Loge Noire habitée par les (...)



Chroniques // 20 avril 2007
Richard Kapp

Pourquoi donc faire long et très bien quand on peut faire court et encore mieux ? Ç’aurait pu être ma devise pour cette chronique, si ce n’était un minimum de modestie et surtout le talent insolent de Richard Kapp, dont on a décidément pas fini de parler.