5e long-format depuis 2013 pour la New-Yorkaise Margaret Chardiet et la formule n’a pas beaucoup changé (jusqu’à la concision et au nombre de titres, systématiquement compris entre 5 et 6), autant dire que la recette Pharmakon ne surprend plus (...)

D’ores et déjà auréolé de très bons retours dans l’équipe sur sa présente tournée européenne, Godspeed You ! Black Emperor livre avec "NO​ ​TITLE AS OF 13 FEBRUARY 2024 28​,​340 DEAD" un 8e long-format solide à défaut d’être surprenant. Meilleur dans ses (...)

Parfois, faire court c’est non seulement aller à l’essentiel mais aussi tirer la substantifique moelle d’une inspiration qui commence à tourner en rond. Désormais partagé entre beatmaking abstract et nappes ambient en fonction des sorties, l’Américain (...)

Quatre ans après un Archaeopteryx aventureux mais un chouia démonstratif, pas suffisamment incarné et surtout pas évident à digérer sur sa longueur excessive de double album de plus d’une heure trente, l’Allemand Robert Henke est de retour en très (...)

C’est la question du jour : est-il forcément malvenu de tirer sur l’ambulance des endeuillés ? Ou pour le formuler différemment, l’album de deuil est-il un passe-droit pour toutes les dérives racoleuses ? Si l’on a choisi de répondre non et d’en mettre (...)

Deux semaines à peine après The Self​-​Medication Motel et ses longues méditations austères aux variations infimes, que l’on conseillera surtout aux amateurs d’ambient minimaliste où les textures prennent le pas sur la mélodie ou l’harmonie, Chris (...)

Si le Colin Stetson nouveau, quoique toujours aussi singulier, ne surprend plus vraiment les aficionados, il s’avère tout aussi impressionnant que son prédécesseur de l’an passé, When we were that what wept for the sea : les deux derniers opus du (...)

On vous parlait déjà tout récemment de Jon Mueller ici pour son album en compagnie de James Plotkin, mais l’EP Dance of Switched Heads se devait de trouver lui aussi le chemin de nos colonnes, et ce pour deux raisons. D’abord bien sûr, pour son (...)

Instrus atypiques - du genre piano/drums neurasthéniques aux arrangements oniriques (No Fun), reggae crayola (Find a Way) ou chamber pop syncopée (Late Stage Panic) - contrastant avec un flow plus dynamique, storytelling à la croisée de (...)

On a toujours nourri - comme pas mal de monde sous nos horizons semble-t-il - une certaine sympathie pour Nada Surf, moins finalement pour le tube Popular (déjà à rebours à l’époque, avec son spoken word harangueur et plein d’ironie, de leurs pop (...)