;background-color:#">Iroha - s/t

Album :

1. Last Day Of Summer
2. Autumn Leaves
3. Watercolours
4. Reminisce
5. Dreams
6. Drifted
7. Eternal
8. Iroha

Remixes :

1. Last Day Of Summer (JKB Mix)
2. Autumn Leaves (JKB Mix)
3. Watercolours (JKB Mix)
4. Reminisce (JKB Mix)
5. Dreams (JKB Mix)
6. Drifted (JKB Mix)
7. Eternal (JKB Mix)
8. Iroha (JKB Mix)
9. Last Day Of Summer (Jesu Remix)
10. Iroha (Transitional Remix)
11. Last Day Of Summer (Black Galaxy Remix)

2011 - Denovali

Sortie le : 18 février 2011

Iroha - s/t

Le contexte : Andy Swan est un ancien du projet Final, en 2010 il sort un split prometteur avec le Français Fragment, en 2011 il nous offre un double album dont un CD de remixes entièrement réalisé par son complice mythique Justin K. Broadrick. Avouez, c’est tentant.

Et le résultat est à la hauteur des espérances. Si Andy Swan a délaissé l’ambient abordé sur le Bittersweet EP c’est pour faire un détour vers des horizons plus noise.
Tout au long des 45 mn de l’album, les riffs massifs de guitares chargés d’overdrive sont implacablement cloués au sol par l’omniprésence d’une basse puissante et répétitive. Ecouter Iroha, c’est comme essayer de s’envoler par une nuit de tempête avec une petite voix intérieure qui ne cesse de murmurer « tu n’y arriveras pas, tu n’y arriveras pas ». Sur cet album, Andy Swan navigue à la frontière d’un noise très 90’s, du post-metal et de l’indus.

Et si le disque rappelle les premiers chef-d’œuvres de Jesu, on est loin du plagiat, preuve en est l’album de remixes où Justin K. Broadrick est aux manettes du début à la fin. Ici la musique est plus rugueuse, la basse est plus en retrait, les guitares dominent et la musique prend son envol. Et cette fois on ne peut plus s’empêcher de comparer le résultat avec l’éponyme de Jesu.

Un double album hypnotique et obsédant dès les premières écoutes. Le son de Birmingham dans toute sa splendeur.


( nono )

- 03.03.2011 par RabbitInYourHeadlights
 


News // 4 août 2010
Jesu se dédouble

Les déçus d’ Infinity, piste d’une cinquantaine de minutes largement improvisée et de fait nettement moins aboutie que les précédents enregistrements de Justin Broadrick et de sa bande (le line-up comptant désormais quatre membres avec le retour du vieux compagnon Dave Cochrane à la basse), seront sans doute heureux d’apprendre que l’enregistrement du (...)