Animal Collective de toutes parts

Après la sortie le 20 mars dernier de l’excellent Person Pitch , troisième album solo de Panda Bear en forme de virée californienne bidouillée à l’électro mutante, c’est au tour d’Avey Tare alias David Portner de nous préparer une nouvelle échappée belle.

Le pilier d’Animal Collective et sa compagne Kria Brekkan - ex-chanteuse du groupe électro islandais Múm sous le nom de Kristin Anna Valtysdóttir - ont ainsi enregistré sur un 8-pistes entre août 2005 et l’an dernier, de Paris à New York, une poignée de chansons mêlant piano, guitares et voix, parfois accélérés ou joués à l’envers puis mixés, selon leurs propres dires, sur un vieux 2-pistes bon marché. Le résultat est un album intitulé Pullhair Rubeye , qui sortira le 24 avril prochain sur le label Paw Tracks et dont voici le tracklisting :

1. Sis Around The Sándmill
2. Opís Helpus
3. Foetus No-Man
4. Who Wellses In My Hoff
5. Lay Lay Off, Faselam
6. Palenka
7. Sasong
8. Was Ónaíp

Parallèlement, Animal Collective (notre photo), signés chez Domino, ont d’ores et déjà enregistré 13 morceaux pour leur prochain album. Toujours sans titre, il fera suite au splendide Feels sorti en 2005, sur lequel Kria Brekkan prêtait déjà sa voix. "Ces morceaux ne sont pas encore mixés", précise Avey Tare, "de fait nous n’avons pas encore véritablement décidé desquelles figureront sur le disque". Il nous faudra donc patienter encore un peu.

News - 27.03.2007 par RabbitInYourHeadlights
 


Animal Collective fait les 100 pas

La nouvelle a déjà suffisamment mis la blogosphère en émoi pour que ce ne soit plus une surprise pour personne, mais allons-y tout de même de notre petit laïus sur le successeur du trop rarement controversé Merriweather Post Pavilion annoncé pour le 3 septembre prochain chez Domino. Fidèle à son habitude, c’est par le biais d’une vidéo énigmatique (...)



Chroniques // 25 janvier 2009
Animal Collective

A Indie Rock Mag la hype on s’en fout un peu, mais comme on n’est pas toujours d’accord et que deux avis valent mieux qu’un surtout quand l’attente autour d’un album et le peu de recul des médias à l’égard de ses auteurs tendent à gommer tout esprit critique, la loi du pour et contre s’est logiquement imposée dans le cas de ce Merriweather Post (...)