Qui veut la cravate de Richard Kapp ?

Richard Kapp est un autrichien de 30 ans, basé à Vienne. Comparé à juste titre à The Divine Comedy, Burt Bacharach, Scott Walker, Rufus Wainwright ou encore les Beatles, on retiendra surtout une voix, un chant, une élégance nonchalante et un talent de mélodiste le rapprochant étonnament, voire dangereusement, du grand Neil Hannon.

Venu dès son plus jeune âge au piano puis à la batterie, il a officié dans divers groupes avant de sortir un premier EP, Watering Cans , en 2004, puis s’est entouré de Back Bone Shiver, Peter Kearns, Gis Johannsson et Woodstock Taylor pour réaliser A Tie For Free ("une cravate gratuite"), premier album sorti l’an dernier et dont trois extraits touchants et décalés sont en écoute sur myspace.

Un nouvel EP de 12 chansons courtes, logiquement intitulé Short Songs , verra le jour au courant du mois de février. Une bonne occasion pour nous Français de découvrir ce songwriter des plus prometteurs.

News - 30.01.2007 par RabbitInYourHeadlights
 


Interviews // 16 février 2017
Entretiens à Twin Peaks : #34 - Richard Kapp

Retrouvez chaque semaine dans nos pages les interviews de quelques-uns des contributeurs à la future compil’ Twin Peaks d’IRM. Sur un nuage il y a quatre ans avec le superbe I See Myself in the Water offert à notre précédente compilation avant de reparaître en version orchestrée sur l’excellent Fake ! en 2015, dernier album en date avec sa troupe (...)



Le streaming du jour #1915 : IRM presents - 'IRMxTP Part XIV - Red Room (The Evil in These Woods)'

Radiations ténébreuses et digressions surréalistes émaillent ce 14e volet - l’avant-dernier à voir le jour - de notre hommage lynchien. Et pour cause, après en avoir chassé l’entrée au gré d’une échappée nocturne dans les méandres inquiétants de la forêt de Ghostwood (sur le volume 13, à télécharger là), c’est dans la fameuse Loge Noire habitée par les (...)



Chroniques // 20 avril 2007
Richard Kapp

Pourquoi donc faire long et très bien quand on peut faire court et encore mieux ? Ç’aurait pu être ma devise pour cette chronique, si ce n’était un minimum de modestie et surtout le talent insolent de Richard Kapp, dont on a décidément pas fini de parler.