;background-color:#">Yeasayer - All Hour Cymbals

1. Sunrise
2. Wait For The Summer
3. 2080
4. Germs
5. Ah, Weir
6. No Need To Worry
7. Forgiveness
8. Wait For The Wintertime
9. Worms/Waves

2007 - Now We Are Free

Sortie le : 20 octobre 2007

Happy New Yeasayer

La première écoute de All Hour Cymbals, le premier album de Yeasayer est pour le moins déconcertante. L’auditeur semble se retrouver replongé sur une station de la bande FM du milieu des années 80 quand les grands dinosaures du rock tentaient des incursions pour le moins périlleuses vers la world music, ce genre honni par le fan d’indie rock moyen. La musique de ce quatuor new yorkais évoque dans ses meilleurs moments les Talking Heads ou Paul Simon et dans les pires, flirte dangereusement avec Peter Gabriel, Simple Minds voire les ignobles Toto. Heureusement Yeasayer possède ce petit grain de folie qui les préserve de l’indigestion qui pourrait guetter l’auditeur à l’écoute de ces 9 morceaux psychédéliques et tribaux. Ce même grain de folie qui a gangréné la musique d’Animal Collective, Grizzly Bear ou encore TV On The Radio et qui leur donne ce caractère sauvage, indomptable qui leur permet miraculeusement de décoller dans une transe chamanique plutôt que de rester les pieds collés au plancher des vaches. Sunrise, Wait For The Summer et le single 2080 font ainsi partie des choses les plus étranges entendues en 2007. Précédé d’une réputation live aussi flatteuse qu’étrange, il faudra surveiller le passage de Yeasayer dans nos contrées en 2008 et guetter leurs prochaines aventures discographiques qui finiront par convaincre les derniers sceptiques ou bien leur donner définitivement le bâton pour se faire battre.


( Aurelien )

- 02.01.2008 par Aurelien
 


Yeasayer au pays du buzz qui fait flipper

En 2007, avec son premier album All Hour Cymbals, le groupe new-yorkais avait déjà réussi à défrayer la chronique. 2009 et tout naturellement, c’est via un site web de promotion de leur premier single : http://www.amblingalp.com/ que le monde entier découvre un peu plus la folie qui anime Yeasayer. On aura juste le temps de s’en remettre, puisque (...)